Ondit qu'il ne faut pas juger un livre à sa couverture et il en va de même pour La Chronique des Bridgerton, opère ici comme un retour aux

Publié le 11 janvier 2021 21 h 00 Par Alexia Malige Adaptée des livres de Julia Quinn, La Chronique des Bridgerton connaît un grand succès sur Netflix depuis sa sortie le 25 décembre dernier. Si elle reste fidèle aux romans de son auteure, la série s’autorise tout de même quelques libertés de scénario au fil des épisodes. Retour sur les différences entre La Chronique des Bridgerton et le roman Daphné et le Duc. Daphné Bridgerton rencontre le duc en fâcheuse position © Netflix Dans La Chronique des Bridgerton, Daphné Phoebe Dynevor rencontre Simon Regé-Jean Page en le heurtant de plein fouet lors du bal donné par Lady Danbury. Elle s’arrête un instant pour lui parler afin que Nigel Berbrooke la pense occupée et ne vienne plus l’importuner. Dans le roman, leur première scène ne se déroule pas du tout comme cela. Nigel Berbrooke a en réalité suivi Daphné à l’extérieur de la salle de bal et la supplie de l’épouser. Au même moment, Simon entre par une porte dérobée pour éviter d’attirer l’attention et surprend alors la dispute entre la jeune femme et son prétendant. Il tend l’oreille pour savoir si elle se trouve en danger, puis décide finalement d’intervenir en entendant le ton monter. Il voit soudainement Daphné décocher un sévère coup de poing au visage de l’aspirant, qui s’écroule sur le sol, sans connaissance. La voyant paniquer face à la situation, Simon décide de l’aider. S’en suit une discussion pleine d’esprit, de moqueries et de piques relevées, au cours de laquelle les futurs amants n’hésitent pas à s’égratigner à tour de rôle. A la fin de leur trépidante discussion, ils décident de laisser le malheureux Nigel sur le sol, car ce dernier ne mérite guère plus d’égards. Si elle ne marque pas la rencontre de Daphné et Simon, cette scène a tout de même été introduite à la fin du premier épisode, après avoir été légèrement arrangée. Le duc d’Hastings danse avec Pénélope Featherington © Netflix Dans la série, le bal de Lady Danbury se termine assez rapidement, mais dans le livre, cette soirée s’étale sur de nombreuses pages. Simon et Daphné y effectuent leur première danse pour échapper aux discours moralisateurs de Violet Bridgerton, ce qui ravit parfaitement cette dernière. Puis, à la fin de l’événement, Simon surprend toute l’assemblée en enflammant le dancefloor au bras de Pénélope Featherington Nicola Coughlan. Simon accompagne les Bridgerton a Greenwich © Netflix Voici une scène amusante, qui n’a pas été conservée dans La Chronique des Bridgerton. Alors que Simon et Daphné ont déjà élaboré leur petit stratagème et qu’Anthony Jonathan Bailey se trouve lui aussi dans la confidence, Violet invite le duc à venir passer une journée en famille à Greenwich. La sortie se déroule plutôt bien, jusqu’à ce que le jeune Grégory décide de faire des siennes. Le cadet des Bridgerton s’amuse sur la passerelle du bateau et manque de tomber dans les cordages. Simon va donc lui dire de monter immédiatement à bord, mais au même moment, Anthony, qui se trouve déjà sur l’embarcation, surgit et surprend le petit garçon. Celui-ci fait volte-face et déséquilibre le duc d’Hastings, qui tombe alors dans la Tamise. Quelques secondes plus tard, le petit frère de Daphné renverse Anthony par mégarde, qui finit alors dans l’eau boueuse aux côtés de son ami. Un drôle de spectacle, qui plonge le reste de la famille dans l’hilarité la plus totale. Simon et Anthony poussent Daphné dans un bosquet d’épineux © Netflix Si dans la série, Anthony se jette sur Simon en le voyant embrasser sa sœur, la scène est encore plus animée dans le roman. Après avoir échangé quelques coups, les deux hommes s’acharnent l’un contre l’autre dans un corps à corps rugueux. Daphné tente de s’interposer, mais ils la renversent par inadvertance et la propulsent dans un bosquet plein d’épines. Blessée par les dizaines d’aiguilles qui ont traversé sa peau, la jeune femme se retrouve prise au piège et n’arrive pas à se défaire des branches. Simon vient alors à la rescousse, mais en la tirant à lui, il déchire sa robe qui reste accrochée à la haie. Daphné se retrouve donc à moitié nue au milieu du parc, sous les yeux désemparés du duc et de son frère. Aucun coup de feu n’est tiré lors du duel © Netflix Lors du duel mis en scène dans la série, Anthony fait feu, mais dirige son arme au dernier moment vers le ciel, refusant de tuer son ami. Au même moment, Daphné arrive à cheval, et chute donc lourdement après que son destrier a pris peur au son du pistolet. Dans le livre de Julia Quinn, aucun des deux hommes ne tire et la jeune femme descend tranquillement de sa monture. Elle frappe alors violemment Simon à l’œil gauche et lui demande de rouler par terre, pour que son frère ne puisse pas lui faire de mal. Orgueilleux et fier, Simon refuse de se coucher devant une femme et tente de ramener Daphné à la raison. Tous les deux discutent ensuite de l’avenir et Daphné annoncent finalement leurs fiançailles à ses trois frères. Simon et Daphné éclatent de rire au milieu de la cérémonie de mariage © Netflix Le cinquième épisode de la série ne s’attarde pas tellement sur le mariage de Daphné et Simon. Les invités sont peu nombreux dans l’église, le discours du prêtre est court et l’échange de consentements rapidement balayé. Le roman ne développe pas tellement plus longtemps ce moment de l’histoire, mais y ajoute une dimension un peu plus comique. Tout au long de la cérémonie, Grégory Bridgerton ne cesse ainsi d’éternuer, couvrant régulièrement les mots de l’homme d’Eglise. A l’instant où le mariage est prononcé, le petit garçon fait d’ailleurs tellement de bruit que Daphné a beaucoup de mal à garder son sérieux. Les jeunes mariés s’embrassent alors, puis s’écartent en éclatant de rire. Une situation aussi étrange qu’adorable, qui surprend beaucoup les convives. Simon découvre que Daphné le croit impuissant © Netflix Tout juste mariés, Daphné et le duc s’en vont pour Clyvedon à la fin de l’épisode 5. Ils sarrêtent alors en chemin dans une auberge pour passer la nuit et le duc demande deux chambres séparées. La jeune mariée se dispute alors avec Simon, car elle est persuadée qu’il ne l’aime pas. Dans le roman, Daphné explique au duc que consommer leur mariage dans une auberge ne la dérange pas. Elle se ravise ensuite en s’excusant auprès de son mari pour son indélicatesse, car elle le croit impuissant. Pensant qu’il ne peut pas avoir d’enfants, elle est persuadée qu’il ne peut pas avoir de relations conjugales avec elle, ce qui décontenance complètement Simon. Après une discussion des plus gênantes, le duc d’Hastings s’amuse de l’ignorance de son épouse et décide alors de combler ses lacunes le plus rapidement possible. Daphné découvre que Simon lui a menti à cause de la gouvernante © Netflix Dans La Chronique des Bridgerton, Daphné se rend compte de son extrême ignorance en matière de sexualité et demande donc à sa dame de compagnie de lui expliquer comment sont faits les enfants. C’est à ce moment là qu’elle découvre que son mari lui a menti. Dans le roman, la jeune femme discute de l’enfance de Simon avec la gouvernante, Madame Colson. Cette dernière lui raconte alors que les parents du duc ont mis beaucoup de temps à le concevoir et que les gens blâmaient sa mère pour cela. Elle précise alors que les femmes ne sont pas toujours responsables et qu’il arrive souvent que ce soient les hommes qui aient des problèmes de stérilité. Un ventre ne s’arrondit pas s’il n’est pas ensemencé par de solides graines », lui dit-elle. Une phrase qui frappe Daphné, lorsqu’après avoir fait l’amour avec Simon, elle le voit se retirer pour déverser sa semence sur les draps. Elle comprend alors qu’il lui a menti et se dispute immédiatement avec lui à ce sujet. Elle n’attend donc pas de le prendre à son propre piège, comme dans la série. Daphné tire avantage de l’ivresse de Simon © Netflix Si dans le programme Netflix, Daphné se venge du mensonge de Simon en le forçant à jouir en elle, la scène est assez différente dans le livre. Le duc d’Hastings revient chez lui complètement ivre et va tambouriner comme un fou à la porte de la chambre de Daphné, qui finit par lui ouvrir. Elle l’aide alors à se mettre au lit et promet de rester auprès de lui. Une fois allongés côte à côte, le désir s’éveille en eux et ils commencent à faire l’amour. Seulement, Simon a l’esprit très embrumé par l’alcool et ne réalise pas qu’il va être incapable de se retirer à temps. De son côté, Daphné comprend qu’elle peut tirer avantage de la situation et se place au-dessus de lui pour le maintenir en elle. Lorsque Simon réalise ce qu’il vient de se passer, il quitte la chambre, furieux, puis s’en va à des centaines de kilomètres de sa femme. Daphné pense vraiment qu’elle est enceinte © Netflix Dans La Chronique des Bridgerton, Daphné attend patiemment de savoir si elle porte l’enfant de Simon, après la terrible nuit où elle l’a forcé à en concevoir un. Mais un beau jour, alors qu’ils sont à l’opéra, la jeune femme s’enfuit dans les toilettes et découvre que ses règles sont bel et bien arrivées. La preuve qu’elle n’est pas enceinte et qui la fait donc fondre en larme dans les bras de sa mère. Dans le roman, cette scène n’existe pas. Le cycle de Daphné ayant plusieurs semaines de retard, la nouvelle duchesse d’Hastings écrit à son mari, parti pour l’une de ses diverses propriétés, afin de lui annoncer l’heureux événement. Simon revient donc à la hâte auprès de son épouse et découvre qu’elle est partie faire une promenade à cheval. Surpris par son inconscience, il part immédiatement à sa recherche et la découvre inanimée sur le sol, après qu’elle a fait une lourde chute. Après avoir recouvré ses esprits, elle lui avoue finalement que ses règles sont arrivées et qu’elle n’est pas enceinte. Elle portera son premier enfant bien plus tard, lorsque Simon sera enfin prêt à devenir père. Alexia Malige Journaliste
Blogde Lectures - Romance Historique - La Chronique des Bridgerton, tome 1 et 2 - Julia Quinn, Julie Pottinger - passion, désir . Skip to content. Blog de Lectures. Une lecture, mille étoiles. Search for: La Chronique des Bridgerton, tome 1 et 2. By PlumeNoire 28 avril 2021 Historique Littérature américaine Livres Romance Leave a Comment on La Chronique des
Face au succès de la nouvelle série de Shonda Rhimes Netflix, Le HuffPost a voulu comprendre pourquoi cette période inspirait toujours autant les auteurs de fictions. LIAM DANIEL/NETFLIX Phoebe Dynevor qui joue le rôle de Daphné Bridgerton et Regé-Jean Page incarnant Simon Basset dans "La chronique des Bridgerton" sur Netflix. LIAM DANIEL/NETFLIX SÉRIE - La Régence anglaise est une période de l’histoire britannique qui a inspiré de nombreux auteurs de fictions en livre, au cinéma ou au théâtre. La dernière en date c’est “La chronique des Bridgerton”, une série Netflix de Shonda Rhimes, connue notamment pour avoir réalisé “Grey’s Anatomy”. Le HuffPost a interrogé une spécialiste de la littérature britannique ancienne Lise Guilhamon, pour connaitre son avis. Un peu d’Histoire britannique d’abord. Au sens strict, la Régence est une période très courte, elle dure de 1811 à 1820. À ce moment, le Roi George III souffre d’une maladie mentale lui donnant des accès de folie, il n’est donc plus apte à assurer ses fonctions. C’est alors, son fils ainé, le Prince de Galles autrement dit le Prince Régent qui le remplace pendant neuf ans jusqu’à sa mort. Cette décennie est caractérisée par l’excès de l’aristocratie. Dans le domaine de la culture, la période est parfois plus longue débutant dès la fin du 18e siècle et le début du 19e siècle parfois. Si William Tackeray est officiellement le premier à trouver son inspiration dans la période de la Régence avec son roman Vanity Fair publié en 1846, Georgette Heyer, quant à elle, confirme le genre littéraire de la “Regency romance” à part entière dans les années 1940. En effet, cette dernière est connue pour ses romans Regency Buck ou An Infamous army aux détails minutieux sur la vie sous la “Regency”. Elle a elle-même servi de modèle aux futurs auteurs de fictions. “Un aboutissement d’idées du passé” La Régence britannique, même si elle a été une “période de flottement” entre deux règnes, n’est pas une période de transition soudaine selon l’historienne. C’est plutôt “un continuum de l’époque géorgienne du 18e siècle”. Elle est la suite logique d’idées sociales et économiques qui étaient de plus en plus répandues. Durant l’ère géorgienne, on commence à parler de l’abolition de l’esclava, du féminisme, des sentiments, mais aussi de la modernisation industrielle. Finalement, d’après Lise Guilhamon, la Régence “est l’aboutissement d’idées du passé”. Au niveau culturel, on assiste à plusieurs nouveautés “La question de la sensibilisation, mais aussi les mouvements esthétiques du Sublime ou du Beau vont trouver leur forme d’expression la plus forte durant cette période”, précise la docteure en littérature britannique. S’identifier dans les personnages Cette modernisation économique, culturelle et démocratique des années 1811-1820 permet aux auteurs comme aux lecteurs et téléspectateurs de facilement s’identifier aux personnages. D’après Lise Guilhamon, cette période correspond en fait au “début de la modernité telle qu’on la connait aujourd’hui”. D’où son côté universel. La Régence britannique “est reconnaissable comme suffisamment proche de nous par comparaison à la société du 17e siècle ou du début 18e siècle”. Et à la fois, “il n’y avait pas de téléphone portable, il fallait s’envoyer des lettres, la société était pleine de contraintes”. De 1811 et 1820, la haute société est de plus en plus codifiée. Outre la classe sociale d’appartenance, une importance grandissante est accordée à l’apparence physique et aux bonnes manières. Tout repose sur des conventions. Et cela inspire rapidement les auteurs comme Jane Austen, mondialement connue pour ses comédies romantiques dont Orgueil et préjugés publié en 1813, ou William Tackeray avec son roman Vanity fair. Un genre “sur-littérarisé” Selon Lise Guilhamon, cette décennie “n’est pas seulement une période qui a existé, mais une période qui devient littérairement un symbole”. Elle s’inscrit comme “un lieu codifié” pour les écrivains. Au 20e siècle, Georgette Heyer et Barbara Cartland confirment les codes du genre de la “Regency romance”. Mais, il existe toujours un décalage entre les attendus de la société de l’époque et des personnages qui, eux, sont presque toujours plus modernes. D’après l’historienne, ces décalages par rapport à la réalité que l’on aperçoit dans les fictions récentes comme dans “La chronique de Bridgerton” sur Netflix sont dus au phénomène de “sur-littérarisation qui fonctionne par répétition”. Autrement dit, il y a tellement d’auteurs qui ont couvert la période de la Régence anglaise que “ce n’est plus un monde tel qu’il existait vraiment, mais c’est un monde qui est toujours déjà écrit”. Finalement, la vision qu’ont les lecteurs et téléspectateurs de la Régence anglaise “est en partie nourrie par celle des Regency romance dont les adaptations d’Austen sur la BBC et les codes qui y sont représentés”, explique-t-elle. Ce qui entraîne bon nombre d’inexactitudes et d’anachronismes. Jane Austen déjà dans ses romans ne dépeignait pas la réalité, car elle représentait seulement la classe supérieure de la société. Et plus l’époque est racontée et scénarisée, plus la tâche des auteurs et réalisateurs actuels est simplifiée “À force d’être réécrite, ils ont toutes sortes d’associations leur viennent à l’esprit. Cela leur permet d’ailleurs d’aller beaucoup plus vite lorsqu’ils écrivent, car les règles sont déjà en place”. À voir également sur Le HuffPost Dans “The Crown”, ces 3 épisodes cultes n’ont pas grand-chose de vrai Tousles livres La Chronique Des Bridgerton. Le livre de Dieu est un trésor. Adaptée des livres de Julia Quinn La Chronique des Bridgerton connaît un grand succès sur Netflix depuis sa sortie le 25 décembre dernier. Et pour faire durer le plaisir les séries comprenant plusieurs tomes sont idéales. Benedict est le troisième tome de la saga La Chronique des Bridgerton de Julia Quinn. Résumé[] Comme le rapporte la mystérieuse lady Whistledown dans sa chronique mondaine, on a vu, lors du bal masqué organisé par les Bridgerton, Benedict, le cadet de la famille, en compagnie d'une ravissante inconnue. Mais à minuit, la belle s'est enfuie. Depuis, il a beau la chercher dans tout Londres, elle semble s’être évaporée. Qui pourrait se douter que sous le masque de soie noire se cachait Sophie Beckett, fille illégitime du comte de Penwood, haïe par sa marâtre qui la cantonne à l'office ? Quand Benedict croisera de nouveau Sophie, saura-t-il la reconnaître sous ses habits de domestique? Résumé détaillé du livre[] Sophie Beckett est la fille bâtarde du comte de Penwood, Lord Guningworth. Le comte la fait passer pour sa pupille bien que tout le monde sache qui elle est vraiment, de par sa ressemblance frappante avec le comte. Sa mère est morte en couche et elle vit donc chez le comte où celui-ci ne lui apporte que très peu d'attention, étant très occupé au travail. Le comte finit par se marier avec Lady Araminta qui déteste immédiatement la fille bâtarde de son mari. La nouvelle comtesse a déjà deux filles d'un précédent mariage Rosamund qu'elle adore car très belle et Posy qu'elle choie moins car plus ronde et timide. Sophie, que tout le monde nomme Sofia Maria Beckett, étudie et grandit avec ses "sœurs" au grand désarroi de la comtesse. Le comte finit par mourir. N'ayant pas d'héritier mâle, le comté va à un cousin éloigné qui promet de prendre soin de la veuve et de ses enfants. Dans le testament du comte, il oblige sa femme a garder Sophie si elle souhaite toucher une rente plus importante. Araminta n'a pas le choix mais fait de Sophie une servante à tout faire qu'elle maltraite et surmène. Rosamund suit sa mère mais Posy est plus tendre bien que toujours obéissante envers sa mère. Un jour, un bal masqué est organisé à Bridgerton House et, grâce à la gouvernante qui l'aime bien, Sophie parvient à se trouver une robe qui appartenait à sa grand-mère paternelle mais doit emprunter des souliers à Araminta pour se rendre au bal incognito. Personne ne la connaît ou reconnaît au bal puisqu'elle n'est jamais entrée dans le monde comme Rosamund et Posy. Elle croise finalement la route de Benedict Bridgerton qui est intrigué par elle. Comme elle ne sait pas danser, il lui apprend sur une terrasse privée de la maison, éloignée du bal. Ils échangent un baiser et Sophie finit par s'enfuir sans lui laisser son nom. Benedict parvient tout de même à garder un de ses gants où se trouvent les armoiries de la famille Gunningworth. Le lendemain, Benedict demande à sa mère à quelle famille appartiennent les armoiries du gant et Violet Bridgerton répond qu'ils appartiennent à la famille Gunningworth. Benedict s'en va donc à Penwood et y rencontre Araminta et ses deux filles. La comtesse finit par comprendre que Benedict ne cherche pas à parler à ses filles mais que Sophie est allée au bal avec ses chaussures et a rencontré le beau jeune homme. En colère, elle vire Sophie de chez elle et celle-ci se retrouve à la rue. Avant de partir, Sophie vole des barrettes de chaussures d'Araminta afin de subvenir à ses futurs besoins. Deux ans s'écoulent et Benedict n'a toujours pas oublié la belle inconnue du bal mais, comme il l’a cherché partout et jamais retrouvé, il a perdu espoir. Sophie, quant à elle, travaille à présent chez les Cavender, à la campagne, loin de Londres et de la méchante contesse. Un jour, Benedict est invité à une soirée de débauche chez les Cavender où il s'ennuie. Le fils Canvender et des amis à lui, éméchés, tentent de s'en prendre à Sophie, n'étant pas surveillés par leurs parents. Benedict arrive au bon moment pour sauver la jeune fille qui se fait virer sur le champ. Bénédicte lui promet de l'engager chez sa mère pour ne pas qu'elle se retrouve à la rue. Benedict emmène Sophie en calèche à "Mon Cottage", une propriété à la campagne qu'il possède pour passer la nuit avant d'atteindre la ville. Benedict ne reconnaît pas Sophie comme la belle inconnue du bal masqué et celle-ci s'en attriste. La pluie se met à tomber et ils arrivent trempés à "Mon Cottage". Benedict semble avoir attrapé un gros rhume et est fiévreux, aussi Sophie se met à son chevet pour le soigner. Benedict et Sophie changent de vêtements pour des plus secs et Sophie est surprise de voir que Benedict n'a aucune honte à se déshabiller devant elle comme il le ferait devant n'importe quelle domestique. Sophie se fait traiter comme une invitée durant son séjour à "Mon Cottage", ce qu'elle a dû mal à accepter, ayant été traitée comme une bonne pendant si longtemps. Elle aide donc à la cuisine de temps en temps. Benedict semble aller mieux et passe beaucoup de temps avec Sophie. Un jour que Sophie et lui discutent, il se rend compte qu'elle l'excite sexuellement et, pour cacher son érection, court se baigner dans le lac froid de la propriété. Sophie, ne sachant pas qu'il y est, va dans sa direction. Quand elle se rend compte qu'il est nu, elle ne détourne pas le regard. Benedict finit par s'en rendre compte et sort de l'eau pour s'habiller. Ils s'embrassent de nouveau et Benedict est heureux de voir qu'il oublie la belle inconnue du bal dans les bras de Sophie. Benedict lui fait comprendre qu'il veut qu'elle soit sa maîtresse mais Sophie refuse car elle ne veut pas imposer à ses enfants d'être des bâtards mais Benedict insiste. Il pense mieux savoir qu'elle comment la sauver et la menace de la dénoncer pour vol si elle refuse son aide. Sophie n'a évidement rien voler mais elle sait que sa parole vaudra toujours moins que celle d'un Bridgerton. Elle peut refuser d'être sa maîtresse mais, au moins, si elle accepte d'être la domestique de sa mère, il pourra la voir en sécurité et bien traitée. Sophie se fait donc accueillir dans la nouvelle maison de la vicomtesse douairière par Violet. Cette dernière à quitté Bridgerton House maintenant que son fils ainé est marié. Violet veut savoir qui est Sophie et lui pose plein de questions sur sa vie. Benedict lui apprend qu'elle a failli se faire compromettre par le fils Cavender et Violet en est outrée. Sophie est donc engagée et Benedict en profite pour lui tourner autour de Sophie et tenter de la séduire pour en faire sa maîtresse. Il sait qu'il peut l'avoir à l'usure. Un jour qu'elle tente de fuir Benedict , Sophie croise Araminta et ses filles dans la rue et se cache d'elles mais Posy la voit. Bienheureusement, celle-ci ne la trahit pas et ne dit rien. Benedict arrive à ce moment et voit que Sophie se cache et lui demande pourquoi mais elle répond de manière évasive. Benedict l'emmène ensuite chez lui et elle cède enfin à ses avances. Une fois sa virginité perdue sur le canapé, elle se rend compte de son erreur et redit à Benedict qu'elle ne peut être sa maîtresse car elle ne peut donner naissance à un bâtard. Benedict lui explique qu'il est peut-être trop tard mais que jamais il ne rejetterai son enfant. Sophie explique que ce ne sera jamais suffisant pour elle car elle ne pourra jamais l'épouser et part. Elle essaie ensuite de fuir les invitations au thé auxquelles Violet Bridgerton l'invite toujours mais elle ne parvient qu'à fuir quelques fois. Violet est la seule employeuse qui l'ait jamais invité à partager le thé avec elle mais Violet apprécie la conversation de Sophie qu'elle trouve bien plus lettrée que la plupart des domestiques. Cette fois, Sophie doit accepter sinon elle risque de vexer la maîtresse de maison. Éloïse Bridgerton est présente et reçoit la visite de son ami Pénélope. Celle-ci semble avoir déjà vu Sophie quelque part et cette dernière se souvient que, effectivement, elle a croisé Pénélope au bal masqué. Elles se sont vues et Pénélope a été cognée par un gentleman et on a dû l'aider à se relever. C'est là que Sophie l'a quittée. Pour fuir les questions de Pénélope, Sophie prétend avoir mal au ventre et s'en va. Benedict parle avec ses frères, Colin et Anthony. Colin revient du Pays de Galles et ils parlent de la manière insistance avec laquelle leur mère souhaite les inciter au mariage. Ses frères disent en rigolant à Colin qu'il épousera Pénélope Featherington mais celui-ci explique qu'il la connaît depuis l'enfance et qu'elle ne sera jamais sa femme. Alors, il se rend compte que cette dernière se trouve derrière lui. Elle lui réplique qu'elle ne lui a jamais demandé de l'épouser bien qu'elle semble clairement en colère de la chose. Colin tente de s'excuser mais est très maladroit. Pénélope finit par rentrer chez elle, raccompagnée par Anthony. Violet souhaite s'entretenir avec son deuxième fils, Benedict, et lui parle de nombreuses jeunes filles à marier. Benedict lui demande alors si elle le renierait s'il choisissait d'épouser une fille d'un autre milieu qu'eux. Violet affirme qu'elle le soutiendrait mais ne sait pas si lui supporterait l'ostracisme de la bonne société. Benedict ne comprend pas et elle lui répond alors que Benedict a la chance d'être beau et cultivé et désiré alors voir tout cela disparaître n'est pas forcément facile. Benedict devine alors que sa mère n'était pas convoitée comme elle l'est aujourd'hui et que c'est pour ça qu'elle invite toujours les demoiselles les moins populaires à danser avec ses fils. Violet explique qu'elle a aimé Edmund Bridgerton, son père, dès le premier regard, la première conversation mais qu'elle ne se l'ait avoué que plus tard. Benedict décide donc silencieusement de renoncer à la femme inconnue du bal masqué et de marier Sophie qui est réelle et qu'il aime. Sophie et Hyacinthe gardent les cousins de cette dernière et jouent à Colin Maillard. Sophie est celle qui a les yeux bandés et c'est là que décide d'entrer Benedict. Ne voyant que le bas de son visage, comme au bal masqué, il reconnaît enfin la belle inconnue qu'il a embrassé et qui s'est enfuie et se rend compte que Sophie et sa belle inconnue sont une unique personne. Benedict est donc en colère car il l'a cherchée partout mais Sophie n'est pas désolée car elle est triste qu'il ne l'ai pas reconnue. Elle avoue à Benedict qu'elle est fille de femme de chambre. Elle ne peut pas être sa maîtresse et reproduire les erreurs de sa mère. Benedict ne se rend pas compte d'à quel point leur situation sont inégales il a tout en tant qu'homme riche et elle, rien en tant que bâtarde et domestique. Sophie pense qu'elle doit à présent partir de chez les Bridgerton et doit l'annoncer à Violet. Celle-ci sait qu'il y a quelque chose entre elle et son fils et lui redemande si elle ne vient pas d'une famille noble. Sophie reste évasive et réitère son intention de quitter la maison de Violet et celle-ci semble triste car elle pense que Benedict et elle auraient pu faire un beau couple malgré les complications que leur union engendraient. Sophie la remercie pour l'avoir si bien traitée puis part pour de bon sans prévenir personne d'autre. Sur le perron où elle attend la calèche prêtée par Violet qui va l'emmener au port pour qu'elle se rende en Amérique, Sophie se fait voir par Araminta qui crie au voleur. Sophie court mais se fait renverser par un homme qui la retient au sol. Sophie est emmenée à la police. Benedict et Colin pratiquent l'escrime et ils se chamaillent sur lequel des deux est le plus doué avec les femmes. Benedict rappelle à son frère l'épisode avec Pénélope et Colin répond qu'il devrait épouser Sophie. Benedict est surpris que son frère ait deviné mais ils se rend compte que Colin est plus mâture à présent. De plus, Benedict se rend compte qu'il n'a pas été juste avec Sophie. Il aurait dû accepter son refus d'être sa maîtresse et ne pas insister. De plus, il se fiche qu'elle soit ou non l'inconnue du bal puisqu'il l'aime. Colin lui rappelle que s'ils se marient, Benedict serai rejeté par la société mais qu'il aimerait sûrement cela puisqu'il n'aime pas les mondanités. Benedict retourne alors chez sa mère pour découvrir que Sophie est partie. Il pense qu'il ne la retrouvera jamais quand Francesca Bridgerton arrive dans la pièce avec la Chronique Mondaine de Lady Whistledown. Ils savent alors que Sophie a été accusée et décident tous de venir à son secours. Araminta vient rendre visite à Sophie en prison pour jouir de son malheur. Araminta lui confit alors qu'elle la hait parce que le comte l'aimait, elle. Sophie réplique que le comte était incapable d'aimer, que s'il l'avait aimé il ne l'aurait pas traitée ainsi. Araminta réplique qu'elle était jalouse qu'une femme de rien ait pu donner un enfant au comte alors qu'elle n'y ai pas parvenu. Elle se réjouit de savoir que Sophie sera emmenée dans les colonies en Australie mais soudain Benedict arrive. Il crie qu'on libère sa fiancée. Sophie comme Araminta en sont surprise mais Sophie est ravie de voir Araminta se faire fermer le bec ! Araminta se défend en disant que Sophie a volé son alliance ce qui est faux et ses barrettes de chaussures ce qui est vrai et que, comme sa mère, elle est une traînée. Benedict répond en l'empoignant par la gorge. Le juge arrive et conseille vivement à Benedict de ne pas faire de mal à cette femme. Benedict la libère et Araminta lui rappelle alors qu'elle est comtesse et donc supérieure en titre et que, si Benedict et Sophie se marient, elle fera savoir à tous quelle est la vraie nature de Sophie. Elle ajoute que les barrettes de ses chaussures ont été volées et que Sophie doit payer pour ça. Posy arrive alors s'accusant elle-même de l'avoir fait, expliquant qu'elle irait en prison avec Sophie s'il le fallait. Araminta ne peut voir sa fille accuser. Sophie explique alors sa vie et à quel point Araminta l´a fait souffrir. Posy apprend alors à l'assemblée que Sophie a une dot que le comte lui a laissé bien que Benedict assure n'en avoir rien à faire. Araminta lui a bien sûr caché cela et Violet Bridgerton, qui vient d'arriver, fait alors savoir qu'il est illégal de retirer son héritage à une femme et qu'Araminta risque la prison bien qu'elle devrait s'en sortir facilement de par son rang. Violet toutefois promet de contacter tous ses avocats et ses nombreuses connaissances pour traîner la réputation du comté de Penwood dans la boue. Araminta abdique et s'en va. Elle souhaite que sa traîtresse de fille, Posy, la suive mais Sophie demande à Violet de l'accueillir chez elle quelques temps. Araminta est en colère et menace Posy de la considérer comme morte si elle part. Violet promet d'accueillir généreusement Posy et Araminta lui rétorque que, sans elle, sa fille ne sera jamais aimé et Sophie lui donne un coup de poing. Avant que la situation s'envenime encore plus, ils partent tous de la prison et rentrent chez eux. Sophie se fait laver par Benedict de retour chez eux et ils se marient et ont des enfants. Sophie veut appeler sa future fille en l'honneur de Violet. Événements majeurs[] Lieux[] Bridgerton House Mon Cottage Personnages[] Galerie[] Version françaiseVersion originaleVersion originale rééditéeVersion originale NetflixVersion audio originale Chronologie Daphné et le duc Anthony Benedict Colin Eloïse Francesca Hyacinthe Gregory Des années plus tard
LaChronique des Bridgerton ( Bridgerton) est une série télévisée américaine créée par Chris Van Dusen (en), basée sur la série de livres éponyme de Julia Quinn. La saison 1 diffusée depuis le 25 décembre 2020 sur Netflix ; la saison 2 est sortie le 25 mars 2022.

Partager via Facebook Partager via Twitter Partager via Pinterest Partager par Mail Imprimer la page Vous avez adoré les deux saisons de La Chronique des Bridgerton » et vous brûlez déjà d'impatience de voir la suite ? Voici notre sélection de livres pour patienter jusqu’à la saison trois. Avis des lecteurs 4/5 9 Donner un avisPublié anonymement en 1816, Emma est l'oeuvre la plus aboutie de Jane Austen 1775-1817 et l'un des classiques du roman anglais. Orpheline de mère, seule auprès d'un père en mauvaise santé, Emma Woodhouse, désormais la maîtresse de maison, s'est mis en tête de marier Harriet Smith, une jeune fille... Jane Austen dépeint avec sobriété et humour, et aussi une grande véracité psychologique, le petit monde provincial. Avis des lecteurs 4/5 4 Donner un avisTraduit de l’anglais Royaume-Uni par Carole Hanna. La beauté de la soie. Le plaisir d’un amour. La cruauté d’une trahison. 1768, Londres. Quand Esther Thorel, l’épouse d’un maître soyeux huguenot, sauve Sara Kemp des griffes d’une m... Une histoire où l’ambition, l’amour et la trahison se mêlent sur fond de révolte ouvrière et de bouleversements sociaux. Margaret est la princesse parfaite, adorée de tous les Anglais. Généreuse, intelligente, polyglotte, cavalière émérite, menant de front des études de littérature, de politique et d’histoire par correspondance… Son secret ?... Un véritable coup de coeur ! Et encore plus, si vous êtes fan de la Monarchie Anglaise. Avis des lecteurs 5/5 3 Donner un avisNous connaissons surtout Marie-Antoinette à travers les clichés qui nous sont parvenus et qui colportent une image d'elle bien souvent à charge. Frivole, dépensière, infidèle, "Madame Déficit", puis "Madame Veto" a ét... Destin d'une femme broyée par l'histoire dont le portrait nuancé, la rend plus proche de nous. À la fin de sa vie, Abélard écrivait à Héloïse Tu sais à quelle abjection ma luxure d'alors a conduit nos corps au point qu'aucun respect de la décence ou de Dieu ne me retirait de ce bourbier et que, quand, même si ce n... Depuis quand ne peut-on pas nommer les choses ? Jean Teulé s’y emploie avec gourmandise ! Avis des lecteurs 5/5 1 Donner un avisAprès Agatha Raisin et Hamish Macbeth , la nouvelle série incontournable de Beaton ! Belle et rebelle, telle est Lady Rose. Après s’être compromise avec les suffragettes, au grand désespoir de ses parents, la jeune fille de bonne famille fait une entr... Belle et rebelle, telle est Lady Rose... qui ferait tout pour échapper à la chasse au mari. Une histoire de romance et de voyage dans le temps à l'époque Victorienne Vienne, 1888 . Inconsolable de la mort brutale de son fiancé, la baronne Amélia von Fairlik, demoiselle de compagnie à la cour impériale, a décidé de se retirer au couvent. Mais quand elle découvre qu’elle est enceinte, elle ne voit pas d... Marie-Bernadette Dupuy nous livre ici une histoire d’amour inattendue sous l’aile protectrice de la belle impératrice Sissi. Avis des lecteurs 3/5 4 Donner un avisRien ne semble devoir troubler l'existence ordonnée de Pemberley, le domaine ancestral de la famille Darcy, ni perturber le bonheur d’Elizabeth, la maîtresse des lieux. Elle est la mère de deux charmants bambins et Jane, sa sœur préférée, habite tout près. Cette félicité se trouve... On frissonne de terreur et d’excitation dans le Derbyshire ! Élisabeth Bennet a quatre soeurs et une mère qui ne songe qu’à les marier. Quand parvient la nouvelle de l’installation à Netherfield, le domaine voisin, de Mr Bingley, célibataire et beau parti, toutes les dames des alentours sont en émoi, d’autant plus qu’il est accompagné... Jane Austen peint avec ce qu’il faut d’ironie les turbulences du coeur des jeunes filles A lire aussi Dr sera en live avec Cultura le jeudi 8 septembre pour vous aider à préparer votre rentrée Après le triomphe de sa trilogie Vernon Subutex , Virginie Despentes fait son grand retour en librairie avec Cher connard Grasset. Avec ces... Après avoir annoncé la parution de son prochain roman Angélique Calmann-Lévy, Guillaume Musso vient d'en dévoiler la couverture... Tops et sélections précédentTops et sélections suivant

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