Klik disini -> 🐕 Le Garder Ce N Est Pas Céder À La Panique

Sport - Football Ligue 1 L'Olympique lyonnais tente de ne pas céder à la panique malgré un trône vacillant en championnat de France après une défaite 2-0 dimanche à domicile contre Auxerre. OLJ / le 17 mars 2009 à 00h13 Vaincu pour la quatrième fois consécutive toutes compétitions confondues, l'OL a pourtant conservé la tête du championnat avec la défaite 3-1 du Paris-Saint-Germain contre résultat est à la fois bon et mauvais pour Lyon le PSG ne s'est certes pas installé dans le fauteuil de leader, mais l'OM est revenu à sa hauteur, à seulement un point de la équipes ont aussi profité du week-end pour se rapprocher, comme Bordeaux, revenu à trois est cependant resté au sommet à l'issue de la 28e journée et cette donnée psychologique peut compter dans une période troublée pour le septuple champion de à tour, Lyon a connu une élimination en Coupe de France face à Lille 3-2, une humiliation en Ligue des champions à Barcelone 5-2 et un double échec en Ligue 1, à Lille 2-0 et devant Auxerre 0-2. Cette défaite fait mal, a reconnu Jean-Alain Boumsong après le revers de dimanche. Nous sommes abattus, c'est clair. Mais je pense que dans ces moments-là, il faut se nourrir de ce qui est positif. Et penser aux belles choses qui peuvent nous donner l'énergie d'aller au bout. »Dans le positif », le défenseur range justement le fait d'être toujours aux commandes du de la fraîcheur Non, nous ne sommes pas inquiets tout en étant conscients que ce n'est pas terrible. Nous avons l'avantage de recevoir pour le prochain match et en comptant sur l'appui du public, nous espérons que cela va nous aider à être sur le chemin de la victoire », a-t-il les défaites dans les Coupes sont éliminatoires, Lyon souligne qu'il peut toujours se relever d'un faux pas en championnat. Ce qu'il y a de sûr, c'est qu'il faut retrouver de la fraîcheur mentale et physique, a prévenu Claude Puel, l'entraîneur. Nous aurons une semaine pleine pour nous entraîner. En ce moment, ce n'est pas du luxe. »Jean Fernandez, l'entraîneur auxerrois, abonde dans ce sens Il faut les laisser récupérer physiquement et psychologiquement. Et malgré les difficultés actuelles et une fois les batteries rechargées, cela reste la meilleure équipe du championnat. »Jérémy Toulalan souligne que le classement donne encore raison à Fernandez. Ce ne sera pas évident, mais nous avons encore notre destin entre nos mains car nous avons des affrontements directs avec les poursuivants. Et ce sera à nous de répondre présents », a dit le milieu n'avait plus accordé un tel suspense à la Ligue 1 depuis ses premiers titres, quand en 2002 il a gagné le premier à la dernière journée, quand un an plus tard, tout s'est joué à la 35e journée et quand en 2004, il a attendu la 32e journée pour passer en veut se servir de cette expérience pour rebondir malgré une défense sans cesse affaiblie. Jean-Alain Boumsong est touché à une cuisse et Cris sera suspendu pour la réception de Sochaux lors de la prochaine journée. John Mensah, toujours blessé, est le symbole de ce qui plombe Lyon une infirmerie qu'ils reprennent leurs esprits, Claude Puel a accordé deux jours de repos à ses joueurs qui ne retrouveront le centre d'entraînement que mercredi matin. Vaincu pour la quatrième fois consécutive toutes compétitions confondues, l'OL a pourtant conservé la tête du championnat avec la défaite 3-1 du Paris-Saint-Germain contre résultat est à la fois bon et mauvais pour Lyon le PSG ne s'est certes pas installé dans le fauteuil de leader, mais l'OM est revenu à sa...

La nouvelle n'a pas fait l'effet d'une bombe. Hier matin, les habitants de la commune d'Englefontaine, à une trentaine de kilomètres de Valenciennes, ont découvert que le premier cas de coronavirus habitait près de chez eux. Pas de quoi céder à la panique pour autant. Tout juste susciter quelques commentaires et interrogations. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1€ à notre offre numérique. Sans engagement de durée. ESSAYER POUR 1€ Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Se connecter

L'équipage s'entraîne régulièrement pour pouvoir faire face à tout type de situation d'urgence Capture écran YouTube En tant que chef de cabine, je n’irais pas jusqu’à dire que la disparition du Boeing 777 de Malaysia Airlines est un non-évènement, mais pour l’heure, ni le personnel naviguant, ni les passagers n’ont l’air de s’inquiéter à ce sujet. Au sein de l’aéroport dans lequel je travaille, l’ambiance n’a pas changé. Quand j’ai appris cette disparition, je n’ai pas été choqué, car ce sont malheureusement des choses qui arrivent. Ce qui m’intéresse c’est de savoir ce qui s’est passé pour pouvoir briefer mon équipage. Actuellement, il y a trop de suppositions et nous ne pouvons tirer aucune conclusion. L'accident survenu lors du vol AF447 d'Air France entre Rio et Paris avait traumatisé beaucoup de gens en France, parce qu’il concernait justement notre pays. À ce moment-là, on sentait l’inquiétude de certains clients, qui nous disaient sur le ton de l’ironie "Bon, j’espère que l’avion ne va pas se crasher cette fois-ci". Ce n’est pas le cas actuellement. Le personnel naviguant peut céder à la panique Quand on fait partie du personnel naviguant, on se doit d’être efficace, de garder notre sang-froid et de sécuriser les passagers, tout en les rassurant. Mais nous sommes des êtres humains il nous arrive parfois de nous laisser gagner par la panique ou le déni. En 2009, je devais atterrir à la même heure que le vol AF447 qui reliait Rio à Paris et qui n’est jamais arrivé à destination. Pendant de longues heures, nous ne savions pas ce qu’il s’était passé, mais nous nous attendions au pire. Je me souviens avoir parlé avec un membre d’un autre équipage qui m’a dit "Ce n’est qu’une panne de batterie, ce n’est rien du tout". Il était dans le déni. Ces catastrophes nous permettent d’être encore plus vigilants. L’accident du vol 522 d’Hélios Airways qui s’est crashé sur une montagne en Grèce en 2005, m’avait par exemple permis de mettre en garde le personnel naviguant. Il y avait eu une dépressurisation de la cabine et tout le monde avait fait une syncope, sauf un steward, qui avait eu le réflexe de prendre un masque à oxygène. Il avait alors tenté de réanimer le pilote, en vain. Même si l’avion s’est crashé, je me suis servi de cet épisode à titre d’exemple car le steward avait bien réagi face à cette situation d’urgence. Il faut savoir que la majorité des accidents se déroulent lors du décollage ou de l’atterrissage. Pendant ces deux phases critiques, je demande à mes équipes de se concentrer, de se taire et de se faire une check-list dans leurs têtes, afin d’anticiper leurs gestes en cas de problème. L'équipage doit pouvoir affronter tout type de situation De mon côté, je n’ai pratiquement jamais été confronté à des situations délicates en vol. Une fois par an, en moyenne, nous faisons une simulation d’accident. Dans une cabine en feu, nous devons maîtriser l’incendie et évoluer à travers la fumée. Nous nous entraînons également à évacuer l’avion. Mais le personnel naviguant doit être préparé à affronter tout type de scénario passager indiscipliné, objet suspect trouvé à bord, malaise, dépressurisation, sortie de piste… Chaque situation a sa propre procédure de sécurité. Certaines de ces données sont confidentielles et doivent être parfaitement maîtrisées par les hôtesses de l’air et les stewards. Dans le cas du Boeing 777, nous ne savons pas à quoi a été confronté le personnel naviguant. D’un point de vue rationnel, cette disparition est terrible, mais comme nous n’avons aucune piste, nous ne voulons pas céder à la panique. On se pose simplement des questions comment et pourquoi cet avion a disparu ? Et surtout, que peut-on faire à l’avenir pour éviter ça ? Propos recueillis par Anaïs Chabalier

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