Durant les vacances d’été, la température moyenne est de 26°C dans ce département de France métropolitaine. Un record qui le place tout juste devant les Pyrénées-Orientales et le Vaucluse. Les vacances d'été 2022 approchent à grands pas. Une période particulièrement attendue par de nombreux Français le voyage est devenu un projet primordial pour 63% des habitants de l'Hexagone, contre seulement 42% l'année précédente*. L'occasion, pour certains, de s'envoler vers des destinations internationales - les Etats-Unis en tête**- et, pour beaucoup d’autres, de profiter des paysages merveilleux de leur propre découvrir également Vacances d'été 2022 à petit prix voici le pays le moins onéreux pour les famillesParmi les 8 destinations les plus recherchées par les Français pour l'année 2022, 7 sont situées dans nos frontières Chamonix-Mont-Blanc, Porto Vecchio, Toulon ou encore Carcassonne ont particulièrement la côte***.Durant la saison estivale, c'est la Nouvelle-Aquitaine qui tirera son épingle du jeu. 60% des voyageurs qui partiront en France pour les vacances d’été la visiteront, devant la Provence-Alpes-Côte d'Azur 55% et l'Occitanie 49%****. Des régions qui séduisent particulièrement pour leur taux d'ensoleillement et leurs températures élevées. Pourtant, le département le plus chaud de France métropolitaine ne figure dans aucune d'entre découvrir également Cette plage est la préférée des Français et elle n'est ni dans la région PACA, ni en Nouvelle-AquitaineLa Haute-Corse est le département le plus chaud de France en juillet et en aoûtSelon les données partagées par le site gouvernemental et réutilisées par c'est en Haute-Corse qu'il fait le plus chaud durant l'été. En juillet et août 2018 et 2019, la température moyenne y était de... 26°C ! Un record qui place le département 2B tout juste devant les Pyrénées-Orientales, où il fait 25,9°C en découvrir également Voici la plage corse préférée des Français ils sont ébahis par ses eaux cristallines et son sable fin immaculéLes 10 départements dont la température moyenne est la plus élevée pendant les vacances d’étéLa Haute-Corse 26°CLes Pyrénées-Orientales 25,9°CLe Vaucluse 25,7°CLe Var 25,5°CL'Hérault 25,5°CLes Alpes-Maritimes 25,3°CLa Drôme 25,3°CLes Bouches-du-Rhône 25,2°CLa Corse-du-Sud 25,1°CL'Ardèche 25°CLe Finistère, département le plus froid de France durant les congés estivauxA l’inverse, ceux qui recherchent à tout prix les températures élevées devront éviter le Finistère. Le département breton est le plus froid de France métropolitaine en juillet et en août la température moyenne atteint seulement les 17,8°C. La Manche arrive sur la deuxième marche du podium 17,7°C, suivie des Côtes d’Armor 17,9°C.* Etude Travel Predictions réalisée par Booking en août 2021.** Étude HolidayPirates menée en novembre 2021.*** Prévisions effectuées après analyse des 1 000 destinations les plus réservées sur entre juin et septembre 2021 vs la même période en 2019.**** Etude Siblu réalisée en mars 2022.
Superficie: Découvrez le classement des départements selon les statistiques officielles Insee. Quel est le département le plus grand ? Tous les critères Général Sécurité Éducation Sports et loisirs Environnement Vie pratique Nombre d'habitants Superficie Densité de population Population active Taux de chômage Revenu fiscal moyen Prix immobilier moyen Age moyen
Tout le monde a pu remarquer que le phénomène de la pluie est fort variable [1] suivant les localités que l’on considère. En France, il pleut souvent dans certaines régions, rarement dans quelques autres. Quand la pluie tombe, ici elle est très faible ; là, elle est tellement forte qu’elle occasionne des désastres. Le même département présente quelquefois ces grandes différences de fréquence, d’intensité ou d’abondance. Il est donc difficile de caractériser une région tout entière, sous le rapport de la pluie, d’après les mesures effectuées dans une seule station pluviométrique. Il faut un très grand nombre de stations quand la surface territoriale à étudier possède une vaste étendue. En toute rigueur même, les résultats obtenus ne devraient s’appliquer qu’à la localité qui les a fournis. Le service pluviométrique organisé en France a cependant permis de reconnaître qu’il y a dans notre pays huit régions qui offrent ordinairement des maxima principaux de pluie ce sont celles qui avoisinent les Pyrénées occidentales, les Cévennes, les Alpes, le Jura, les Vosges, le Plateau Central, les monts du Morvan et ceux de la Bretagne. Cela confirme le principe, déjà souvent vérifié, que la pluie augmente avec l’altitude. Dans nos plaines du Nord-Ouest et du Nord, la hauteur annuelle de pluie reste quelquefois au-dessous de 500 millimètres, tandis qu’elle dépasse souvent 2 mètres dans les stations élevées de nos départements montagneux. Toutefois, si le principe est vrai d’une manière générale, il souffre aussi de nombreuses et importantes exceptions. C’est ainsi qu’à Vialas, dans le département de la Lozère et dans le bassin de l’Ardèche, à 522 mètres seulement d’altitude, il tombe, annuellement et en moyenne, 1655 millimètres de pluie, alors qu’on en constate seulement 952 millimètres à Florac, qui est situé à 25 kilomètres de distance, dans le même département. et à 551 mètres d’altitude. Bien plus, Bayonne reçoit 1255 millimètres d’eau pluviale, soit 500 millimètres de plus que Florac, et 400 millimètres de moins que Vialas, quoique son altitude ne soit que de 12 mètres. Dira-t-on que Bayonne est située tout près de la mer, et au pied des Pyrénées ? On pourra répondre que Perpignan se trouve dans une situation absolument analogue, à 32 mètres d’altitude, et qu’on y relève à peine 546 millimètres d’eau de pluie, c’est-à-dire moins de la moitié de la quantité recueillie à Bayonne. On trouve des anomalies de même ordre si l’on étudie avec quelques détails la fréquence de la pluie. En général la pluie est plus fréquente à mesure que le relief du sol augmente ou qu’on se rapproche de la mer, mais les exceptions sont aussi remarquables que dans le cas précédent. À Bordeaux, il y a 205 jours de pluie par an, tandis qu’on n’en compte que 142 à Lorient, 125 à Bayonne, 89 à Perpignan, et 131 à Bagnères-de-Bigorre, dont l’altitude atteint 553 mètres. La quantité de pluie n’est même pas toujours en rapport avec le nombre des jours pluvieux. Vialas, qui compte 94 jours de pluie, Nantua qui en a 136, Gérardmer qui en subit 147, fournissent respectivement 1653, 1254 et 1550 millimètres d’eau ; tandis que les 205 jours pluvieux de Bordeaux n’en produisent que 764 millimètres. Toutes ces singularités, que l’on pourrait croire créées par le hasard ou par des conditions absolument locales, relèvent cependant au premier chef de causes générales que nous connaissons encore imparfaitement, mais que nous faisons plus que soupçonner, Il est bien certain que si la topographie environnante joue quelquefois un rôle important dans le régime pluvial d’une localité, il faut aussi lui adjoindre l’influence primordiale qui appartient à la situation géographique de cette localité, c’est-à-dire à la position qu’elle occupe par rapport aux trajectoires ordinaires des dépressions atmosphériques, grandes ou petites. D’après ce que nous venons de dire, on reconnaîtra qu’on se heurte à de grandes difficultés quand on cherche à tracer exactement une carte pluviométrique dans laquelle les hauteurs de pluie seraient représentées par des courbes continues. Mais il est relativement facile de dresser une carte sur laquelle on se contentera d’inscrire, près des localités importantes, les quantités annuelles de pluie et les nombres annuels de jours de pluie qu’on a observés, en moyenne, dans ces localités. C’est un projet que nous avons commencé à mettre en exécution, d’après les observations publiées par le Bureau central météorologique, pour près de 2000 stations réparties dans toute la France. Nous extrayons des préliminaires de ce travail les deux tableaux suivants qui représentent les villes d’une certaine notoriété où il pleut le plus et celles où il pleut le plus souvent. ABONDANCE DE LA PLUIE LocalitésAltitudesQuantités de pluieNombre de jours de pluie Gérardmer 685 mètres 1550 mm 147 Pontarlier 823 1370 143 Nantua 484 1254 136 Bayonne 12 1253 125 Chambéry 283 1210 142 Bagnères-de-Bigorre 553 1178 131 Château-Chinon 540 1169 142 Tulle 246 1120 143 Besançon 251 1092 159 Aurillac 666 991 135 FRÉQUENCE DE LA PLUIE LocalitésAltitudesNombre de jours de pluieQuantités de pluie Bordeaux 74 mètres 205 764mm Brest 56 189 960 Clermont-Ferrand 388 169 618 Pontarlier 823 163 1370 Le Havre 89 159 911 Besançon 251 159 1092 Cherbourg 20 158 873 Epinal 333 157 979 Bar-le-Duc 186 156 946 Gérardmer 683 147 1550 Ce premier résultat a été déduit d’une statistique comprenant cinquante stations et quinze années d’observations 1880-1894. S’il n’atteint pas l’exactitude que nous obtiendrons plus tard pour notre carte, il doit s’en écarter très peu, car nous avons choisi les cinquante stations utilisées dans les régions qui présentent habituellement des maxima de pluie, tant sous le rapport de la quantité que sous celui de la fréquence. Nous donnons ci-dessous un second tableau, qui concerne quelques-unes des principales villes de France et qui permet de faire quelques comparaisons intéressantes avec les deux précédents [2] Villes Altitudes Quantités annuelles de pluie Nombres annuels de jours de pluie Paris 56 mètres 481mm 136 Lyon 175 739 146 Marseille 74 547 72 Bordeaux 74 764 205 Toulouse 194 642 124 Cherbourg 20 873 158 Besançon 251 1092 159 Le Havre 89 911 159 Saint-Etienne 550 741 117 Brest 56 960 189 Au premier examen des tableaux on voit que c’est Bordeaux qui compte le plus grand nombre de journées pluvieuses ; Brest vient ensuite, et Clermont-Ferrand en troisième ligne. C’est cependant cette dernière localité qui reçoit le moins d’eau pluviale après Marseille et Paris. Enfin on peut encore constater que Marseille a trois fois moins de jours pluvieux que Bordeaux, et qu’elle est, parmi les villes que nous avons considérées, celle où il pleut le moins et le moins souvent. Pour terminer, nous ferons remarquer que nous avons volontairement laissé de côté les observatoires installés au sommet des montagnes, à cause de leur situation exceptionnelle, dans des endroits peu habités. Nous ajouterons cependant, pour achever de caractériser d’une manière sommaire la répartition des pluies en France, que les quantités d’eau pluviale, ainsi que les nombres de jours pluvieux enregistrés par ces observatoires, ne dépassent guère les valeurs atteintes dans quelques stations de moyenne altitude. Le sommet du mont Ventoux, qui s’élève à 1900 mètres, a 108 journées pluvieuses qui fournissent 1544 millimètres d’eau. Le Pic-du-Midi, dont l’altitude atteint 2859 mètres, reçoit seulement 1541 millimètres d’eau répartis sur 185 journées. Enfin le Puy de Dôme, dont la cime ne dépasse pas 1465 mètres, est l’observatoire qui subit le plus grand nombre de jours de pluie ou de neige on en compte 256 qui donnent en moyenne 1586 millimètres d’eau météorique. Jean-Raymond Plumandon, Météorologiste à l’Observatoire du Puy de Dôme. Cemercredi 14 juillet est vraisemblablement la journée la plus froide de l’été, mais aussi le plus froid et le plus pluvieux des 14-Juillet depuis 20